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FAQ

Vos questions :

Les agences ont une obligation générale de sécurité dans le choix de leurs prestataires.

Si la compagnie, qui vous a été vendue entrait dans la « Liste noire » communautaire, vous en seriez immédiatement avisé et vous pourrez choisir d’annuler votre vol et être remboursés de la valeur de celui-ci.

Des mesures de prises en charge et de réacheminement sont en principe mises en place par les transporteurs dès l’annulation d’un trajet.

Il conviendra en tout état de cause de prévenir le vendeur/l’organisateur de cette avarie afin qu’il puisse au mieux gérer la suite de votre séjour.

Avant votre départ et pour pallier à ce genre d’éventualité, votre agence de voyages vous proposera une assurance rapatriement, qui couvrira votre prise en charge sur place et votre retour en France le cas échéant.

En tout état de cause, les correspondants sur place seront la pour vous guider et vous assister.

Dans le cadre de la vente de prestations de transport sec (c’est-à-dire non assortis de prestations hôtelières ou autres), l’agence intervient pour le client en tant que mandataire du transporteur, en l’occurrence la compagnie ferroviaire.

C’est donc directement auprès de la compagnie que vous devez intervenir pour faire part de votre réclamation.

Votre agence de voyages fera au mieux vous aider à préparer et choisir votre séjour dans les meilleurs conditions, en fonction de la spécifié de vos demandes et de vos critères de sélection.

Cette obligation de conseil, est bien entendu une obligation de moyen et pas de résultat.

Vous serez toujours informés des frais d’annulations applicables à la prestation achetée avant la signature de votre contrat. Ils dépendent en général du délai entre votre annulation effective et la date de départ prévu.

Il vous sera également proposé de souscrire une assurance annulation.

Avant la date prévue pour votre départ, l’agence vous fournira:

  • . Le nom, l’adresse et le numéro de téléphone de la représentation locale du vendeur
  • . les noms, adresses et numéros de téléphone des organismes locaux susceptibles d’aider le consommateur en cas de difficulté
  • . le numéro d’appel permettant d’établir de toute urgence un contact avec le vendeur ;

Mais la loi ne lui impose pas d’être elle-même joignable 24/7.

Toute agence de voyages immatriculée au registre national des opérateurs de voyages, possède une garantie financière, qui est chargée de prendre en charge les clients en cas de défaillance du vendeur, et d’assurer la réalisation du séjour ou le remboursement.

Toutes les prestations incluses dans le prix total du forfait vous seront spécifiées, les autres (qui vous seront également communiquées) restent à votre charge.

La fixation des prix étant libre, la garantie du « prix le plus bas » est un engagement commercial totalement indépendant d’une obligation légale.

La 1ere chose à faire et de signaler le « problème » au réceptif local, qui dans la mesure du possible essaiera d’y trouver une solution sur place.

Si celle-ci n’a pu être trouvée, vous pourrez à votre retour, saisir votre agence de voyage par tout moyen permettant d’en accuser réception et dans les conditions prévues par les conditions de vente.

Enfin, si la réponse apportée ne vous satisfaisait pas, et que l’agence est adhérente aux ENTREPRISES DU VOYAGE ou garantie par l’APST, vous pourrez saisir la Médiation Tourisme et Voyage

La loi impose aux agences d’informer les ressortissants européens de ces formalités.

Leur prise en charge relève quant à elle d’une volonté commerciale de l’agence.

L’ensemble des voyageurs clients d’une agence de voyages est informé avant le départ des formalités sanitaires nécessaires au séjour.

Un tel voyage est toujours possible bien que déconseillé. Un client, qui souhaiterait se rendre sur une telle destination malgré les mises en garde du MAE et de son agence, devra signer une décharge et une reconnaissance d’information.

Il s’exposera à ce que l’État lui exige le remboursement des dépenses qu’il a engagées pour une opération de secours à l’étranger au bénéfice d’un voyageur « s’étant délibérément exposées, sauf motif légitime tiré notamment de leur activité professionnelle ou d’une situation d’urgence, à des risques qu’il ne pouvaient ignorer ».