Conscient, de l’impact que peut avoir notre organisation sur le réchauffement climatique, nous avons réalisé notre Bilan Carbone* du fonctionnement de nos bureaux au siège à Paris. Le Bilan Carbone est une méthode de calcul, certifié par l’ADEME, qui permet de réaliser une évaluation globale des émissions GES, que celles-ci soient directes ou indirectes. Cette méthodologie de calcul prend en compte l’ensemble des gaz à effet de serre définis par le GIEC pour l’ensemble des flux physiques sans lesquels le fonctionnement de l’organisation ne serait pas possible.
Des actions concrètes ont été mise en place au sein des EdV dans le dessein de minimiser l’impact carbone et faire évoluer tous les comportements.
Notre organisation a mis en place deux jours de télétravail afin de limiter les déplacements domicile-travail des collaborateurs et nous privilégions les réunions à distance.
Nous limitons les impressions et nous maitrisons nos consommations énergétiques.
Nous sous-louons une partie de nos locaux et nous nous imposons une politique d’achats responsables ainsi que le tri sélectif.
Notre bilan carbone a évalué notre impact à 1264 tonnes de CO2.
Pour absorber la part irréductible de nos émissions, nous avons choisi de nous engager auprès du « Philippe Romero Insolite Batisseur Foundation ». Cet organisme veille à la préservation de l’environnement, la protection des populations et l’aide au développement.
Le « Philippe Romero Insolite Batisseur Foundation » est engagé depuis plus de dix ans dans la reforestation. Il finance plusieurs programmes de plantation à travers le monde.
Ces projets concernent notamment la mangrove, un écosystème dont l’intérêt est multiple : elle absorbe le carbone, désalinise, augmente la biodiversité et permet par ricochets de relancer la pêche locale.
Au Sénégal, en Inde, en Indonésie, nous participons à des projets de restauration de la mangrove.
Au Rwanda, nous soutenons un projet de réhabilitation de l’écosystème forestier rwandais en partenariat avec Livelihoods et l’association rwandaise ARCOS qui veille à la sensibilisation et à la formation des populations villageoises (27 000 fermiers sont mobilisés).
Ces projets ont donc un triple impact : écologique, social et sociétal.