Le mot d’Isabelle Rech-Francis
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Notre Assemblée nationale a encore de beaux jours devant elle
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Je t’aime moi non plus, chantait le regretté Serge Gainsbourg. Ce titre pourrait résumer l’opinion des Français sur l’Union européenne. À moins que ce ne soit Le mal aimé, d’un autre de nos célèbres interprètes.
Pourquoi parler de l’Union européenne, me demanderez-vous ? La réponse est simple : parce que la plupart des réglementations actuelles et futures qui concernent le secteur des voyages proviennent de l’UE.
Nous connaissons tous la célèbre PTD – prononcez Pitidi – et traduisez "directive sur les voyages à forfait". Sa première version remonte à 1990, et sa révision fait débat depuis plusieurs mois. La question essentielle est la suivante : les droits des passagers, des distributeurs, des organisateurs et des transporteurs sont-ils équilibrés ? Ce débat, légitime et nécessaire, est espérons-le constructif.
Il ne fait aucun doute qu’il est impératif d’appliquer des règles homogènes dans toute l’Europe, qu’elles plaisent ou non. Imaginez un instant des réglementations divergentes entre Perpignan et Barcelone, ou entre un vol au départ de Strasbourg et un autre de Bruxelles ? Cela n’aurait aucun sens.
Le secteur du voyage, composé aussi bien de grandes entreprises (TMC, tour-opérateurs, consolidateurs) que de PME, est par nature international et de plus en plus dématérialisé. Réserver un billet d’avion ou un séjour peut se faire en quelques clics, que vous soyez à Rome ou à Helsinki.
Rendons hommage à l’Union européenne pour les avancées qu’elle a apportées : la possibilité de voyager sans barrières ni passeports, le programme Erasmus qui façonne les voyageurs de demain, ou encore la simplification des paiements grâce à l’euro. Ceux qui ont connu les conversions entre francs, lires ou pesetas se souviennent bien du casse-tête que représentaient les couvertures de change.
Certes, les processus européens sont longs et complexes. Oui, Bruxelles est la deuxième ville mondiale après Washington en termes de lobbyistes (50.000, soit plus de 70 par député !). Mais cette complexité permet une réflexion approfondie et donne à chacun l’occasion d’exprimer son point de vue. Notons également que les commissions techniques européennes sont souvent moins influencées par les aléas politiques que nos assemblées nationales.
Pour que cette harmonisation porte ses fruits, il est crucial que nos législateurs nationaux évitent la surtransposition, c’est-à-dire l’adoption de règles nationales plus strictes que celles de l’UE. Une telle pratique crée précisément les distorsions que nous cherchons à éviter.
Contrairement à une idée reçue, 80% des lois françaises ne proviennent pas de l’Union européenne. Le chiffre réel se situe plutôt autour de 20%. Notre Assemblée Nationale conserve donc un rôle central.
Parmi les avancées européennes notables, le RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données) reste une référence majeure. Ce règlement, applicable dans tous les pays de l’UE et au-delà, protège les citoyens européens partout dans le monde. Il a d’ailleurs inspiré des initiatives similaires au Brésil, en Californie et ailleurs. C’est une belle illustration du soft power juridique, domaine dans lequel nos amis d'outre-Atlantique excellent également.
Je ne peux aborder ce sujet sans évoquer IATA, une organisation centrale dans notre secteur. Plus nous serons unis, plus notre voix sera forte face à des entités comme IATA. Ce n’est pas une législation nationale qui pourra contraindre cette organisation, mais une législation européenne. Ce raisonnement s’applique aussi à la nécessaire protection des passagers et des entreprises en cas de défaillance d’une compagnie aérienne.
En tant qu’administratrice des Entreprises du Voyage (EdV) et présidente de sa commission juridique, je crois fermement à l’importance de participer aux travaux européens. Les EdV s’y emploient activement, notamment à travers l’ECTAA, l'association basée à Bruxelles qui regroupe les associations nationales d’opérateurs de voyages en Europe.
L’ECTAA est également l’une des trois seules organisations reconnues par IATA comme interlocuteur légitime au niveau mondial. Parmi les dossiers européens majeurs figurent la révision de la directive sur les voyages à forfait, le droit des passagers, le voyage multimodal, ou encore la CSRD (un nouveau cadre de reporting sur la durabilité).
Enfin, au-delà de l’harmonisation législative, rappelons l’un des objectifs fondateurs de l’Union européenne : la paix. Alors que nous entrons dans la période des vœux, je formule le souhait que l’Europe continue à rapprocher les peuples, à encourager le dialogue, la compréhension mutuelle et, bien sûr, les voyages.
Isabelle Rech-Francis
Administratrice et présidente de la Commission juridique
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Retenez par ailleurs dans l'actualité... En Géorgie, les législateurs ont confié la présidence à Mikhaïl Kavelachvili, une ancienne star du football devenue politicien d'extrême droite, aggravant ainsi l'agitation politique du pays après des semaines de manifestations et des élections législatives contestées ● Israël a frappé la Syrie à 75 reprises lors d'attaques qui ont commencé samedi soir sur des sites militaires près de la capitale, Damas, et des villes de Hama et Homs ● Israël entend doubler la population israélienne présente dans les colonies du plateau du Golan ● En Ukraine, Volodymyr Zelensky confirme la présence de soldats nord-coréens dans les troupes d'assauts russes ● Le président argentin, Javier Milei, appelle depuis l'Italie à l'union mondiale de l'extrême droite. Sa dernière mesure en Argentine a été d'abaisser de 21 à 18 ans l'âge minimum pour accéder à une arme à feu ● A cause des retards de Boeing, Donald Trump ne pourra pas voler sur un nouvel Air Force One…
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L’actualité des territoires
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Catherine Frécaut : "Transformer une contrainte en opportunité !"
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Notre présidente, Valérie Boned, nous a invités à "découvrir et partager des idées pour propulser notre secteur vers de nouveaux horizons", une ambition essentielle pour notre profession et nos territoires ultramarins.
Dans nos régions ultramarines, notre syndicat joue un rôle clé en collaborant avec diverses instances sur des sujets liés au développement du tourisme. Nous participons également aux réflexions économiques, notamment dans le cadre des lois de finances qui impactent à la fois nos territoires et notre secteur.
Les membres de notre chambre régionale s’impliquent quotidiennement dans ces échanges avec les acteurs économiques et politiques. Ces collaborations nous permettent de relayer des informations stratégiques, d’anticiper les défis et d’agir collectivement sur des sujets cruciaux pour notre profession.
Nous bénéficions, à cet égard, du soutien constant et efficace de notre présidente et des équipes parisiennes, qui relaient nos préoccupations et défendent nos spécificités auprès des instances nationales.
Les récents débats autour de la taxe de solidarité sur les billets d’avion (TSBA), souvent appelée "taxe Chirac", illustrent bien les tensions entre préoccupations environnementales et considérations budgétaires.
Pour notre île, cette taxe, si elle venait à être adoptée, représenterait une contribution particulièrement lourde en raison de notre dépendance géographique à l’avion. Ce mode de transport est indispensable pour nos échanges économiques, professionnels et personnels, mais aussi pour l’accès aux services essentiels comme la santé avec la métropole.
Le tourisme, un secteur clé de notre économie, repose également sur l’aérien. En tant que professionnels, nous sommes conscients de l’impact écologique du transport aérien et de l’importance de réduire l’empreinte carbone des voyageurs.
Face à ces enjeux, il est urgent de transformer cette contrainte en une opportunité. Nous devons valoriser les nombreux atouts de notre île et mobiliser tous les acteurs de la filière pour atteindre des objectifs de compensation écologique.
Notre destination doit se positionner comme un modèle exemplaire en développant des énergies propres, en optimisant la gestion des déchets, en préservant notre patrimoine naturel et culturel, en protégeant la biodiversité, en promouvant l’économie circulaire et en créant des emplois autour des métiers du service, entre autres.
Le tourisme peut devenir un moteur de développement harmonieux, prenant en compte non seulement les dimensions écologiques et économiques, mais aussi les enjeux sociétaux. Le fait de devoir prendre l’avion pour rejoindre notre destination ne doit pas être perçu comme une faute, mais comme une opportunité de repenser le voyage.
Notre secteur peut se démarquer en sensibilisant nos clients à voyager de manière plus consciente. Nous pouvons les encourager à découvrir le monde tout en privilégiant des destinations et des prestataires répondant à des critères plus vertueux, offrant ainsi une nouvelle dimension à leurs voyages.
En adoptant cette démarche basée sur des indicateurs de durabilité, notre profession répondra aux défis de l’avenir. Nous continuerons à promouvoir un tourisme qui allie harmonieusement développement économique, respect de l’environnement et responsabilité sociale.
Catherine Frécaut
Présidente des Entreprises du Voyage de La Réunion
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Retenez par ailleurs dans l'actualité... Le président brésilien, Luiz Inácio Lula da Silva, 79 ans, est maintenant chez lui après avoir surmonté une hémorragie cérébrale ● Le gouvernement suisse prévoit d'investir 250 millions d'euros pour la modernisation de ses abris nucléaires après que le secrétaire général de l'Otan a déclaré qu'il était "temps de passer à un état d'esprit de guerre" face aux craintes d'une agression russe ● Après le passage du cyclone Chido à Mayotte, le préfet annonce un bilan humain très lourd : "Plusieurs centaines, peut-être un millier, voire quelques milliers" de morts, a-t-il déclaré ● Après son départ de Stellantis, le Portugais Carlos Tavares envisage de jouer un rôle dans la privatisation de la compagnie aérienne TAP Air Portugal, en tant qu'investisseur ou administrateur non exécutif ● Un train reliant Nancy à Lyon, le premier depuis 2018, est parti dimanche matin de la gare de Nancy…
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Nos partenaires se mobilisent
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Orchestra : "Un outil essentiel pour mieux comprendre les attentes des voyageurs"
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Orchestra et les Entreprises du Voyage entretiennent un partenariat solide et de longue date, que l'on pourrait qualifier d'historique. Ce lien est d'autant plus naturel que le bon nombre de nos clients et partenaires sont des agences de voyage. Tout comme pour le Seto, avec qui nous collaborons également, il est assez logique de faire partie des EdV. Même si notre adhésion est intervenue un peu plus tard qu'avec le Seto, il n'y a pas vraiment lieu de comparer ces deux partenariats, qui répondent à des logiques et des objectifs complémentaires.
Le contenu de notre partenariat avec les EdV repose sur plusieurs piliers.
Tout d'abord, Orchestra participe activement aux événements et congrès organisés par les EdV. Ces contributions peuvent sembler classiques, mais elles constituent un moyen précieux de renforcer nos échanges et d'accompagner les acteurs du secteur dans leurs réflexions stratégiques.
Un autre volet important de cette collaboration réside dans la fourniture régulière de données de tendances du marché. Chaque mois, nous éditons un document qui analyse les évolutions récentes, généralement sur une base mensuelle ou trimestrielle. Ces analyses offrent une vision claire et actualisée des dynamiques qui animent le secteur du voyage, ce qui en fait un outil essentiel pour nos partenaires.
De manière ponctuelle, nous réalisons également des études approfondies, centrées sur des périodes spécifiques de réservation ou de départ, ou encore sur des thématiques précises. Grâce aux données dont nous disposons, nous sommes en mesure de fournir des éclairages détaillés qui permettent aux agences de mieux comprendre les attentes des voyageurs et d'anticiper les grandes tendances.
Cela fait désormais plus de dix ans que nous collaborons avec les EdV, et ce partenariat ne cesse de se développer. Nous travaillons activement à affiner nos outils statistiques et analytiques afin de proposer des analyses toujours plus précises et pertinentes. Notre objectif est d'accompagner nos partenaires dans un secteur en constante évolution, en leur apportant des informations stratégiques adaptées à l'enjeu.
Christian Sabbagh
Président Orchestra
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Retenez par ailleurs dans l'actualité... Le gouvernement français a rééchelonné jusqu'en 2037 le remboursement de prêts totalisant plusieurs dizaines de millions d'euros, consentis à cinq exploitants d'aéroports régionaux. Ces reliquats représentent au total 32 millions d'euros pour Toulouse-Blagnac, 17,8 millions pour Martinique-Aimé-Césaire, 9,3 pour Lyon (Saint-Exupéry et Bron), 7,7 pour Brest-Bretagne et 2,8 pour Poitiers-Biard ● Bonne nouvelle pour les Britanniques : les choux de Bruxelles récoltés dans le Lincolnshire en Angleterre seront 25% plus gros cette année, grâce au limon et aux brises marines ● Les négociateurs ne sont pas parvenus à un accord pour faire face à la sécheresse lors de la conférence de l'Onu contre la désertification en Arabie saoudite, Cop16, balayant les espoirs d'un protocole contraignant pour lutter contre ce fléau ● Google annonce pour l'année prochaine l'arrivée de Willow, une puce quantique capable de résoudre en cinq minutes une tâche qui demanderait des milliards d'années à un supercalculateur…
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Le prochain grand pari des compagnies de croisière : Des destinations exclusives à plusieurs milliards de dollars !
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Les compagnies de croisières, comme Royal Caribbean et Carnival, concentrent de plus en plus leurs efforts de développement sur la terre ferme. Il s'agit de destinations "privées" entièrement gérées par les compagnies de croisières. Ce sont généralement des stations balnéaires avec bars, restaurants et activités de loisirs en plein air. Elles sont prévues pour que les clients y restent environ huit heures, avant de remonter à bord, et ont la capacité d'accueillir des millions de personnes par an. Un bon exemple est Perfect Day at CocoCay, le centre de villégiature de Royal Caribbean aux Bahamas. Les clients peuvent, entre autres, jouer au volley-ball et au basket-ball sur la plage, se rafraîchir dans un bar flottant au large ou se détendre dans l'une des cabanes en bord de mer. Des centaines de millions de dollars ont déjà été dépensés par les compagnies pour ces nouvelles installations, et d'autres sont prévues. D'après un spécialiste du secteur, "en proposant davantage d'escales leur appartenant, les compagnies de croisières n'ont plus à se demander si des navires nouveaux et plus grands peuvent entrer dans les ports, si les sites auront la capacité d'absorber les clients, et ils évitent toute objection de la part des locaux quant à l'impact économique de la croisière. Cela permet également d'éviter de se préoccuper de l'instabilité politique ou sociale qui pourrait mettre en danger les clients." L'avenir de la croisière serait donc sur terre ?
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Retenez par ailleurs dans l'actualité... L'Egypte a inauguré samedi une centrale solaire à 500 millions de dollars à Assouan, au sud du pays, dans le cadre de ses efforts pour stimuler la production d'énergie renouvelable et réduire les pénuries d'électricité ● Donald Trump a déclaré qu'à son retour au pouvoir le 20 janvier, son parti s'attacherait à "éliminer l'heure d'été" aux Etats-Unis, afin d'éviter les changements d'heure semestriels ● Boeing va investir un milliard de dollars en Caroline du Sud pour doper la production de ses appareils 787 Dreamliner ● Le groupe espagnol d'infrastructures Ferrovial a annoncé jeudi avoir cédé une participation de 19,75% dans l'aéroport britannique de Londres-Heathrow, pour deux milliards d'euros, à des fonds d'investissement français et saoudien ● Aircalin ouvre une ligne Paris-Nouméa via Bangkok …
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Ce qui attend le voyage d’affaires en 2025
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Le rapport Travel & Expense 2025 publié par SAP Concur met en lumière quatre tendances clés pour le voyage d’affaires en 2025. Déjà, le ralentissement de l'inflation devrait entraîner une augmentation des voyages d'affaires. Cependant, les voyageurs restent attentifs à leurs dépenses. L'année dernière, souligne le rapport, "les entreprises ont dépensé davantage pour voyager moins", et "les dirigeants s'attendent à maximiser la valeur de chaque dollar, yen et euro investi dans les déplacements". Autre constat : les jeunes générations de voyageurs, notamment les milléniaux et les plus âgés de la génération Z, recherchent davantage de possibilités de combiner travail et loisirs. Le rapport anticipe une croissance de la demande pour les séjours mixtes. De plus, si les voyageurs d'affaires sont ouverts à l'automatisation par l'IA, ils restent réticents à lui confier entièrement la réservation de leurs voyages ou la soumission de leurs rapports de dépenses. Enfin, les attentes des voyageurs en matière d'expérience utilisateur continueront à croître, c'est une certitude.
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Retenez par ailleurs dans l'actualité... Pour la première fois, Paris et Berlin sont reliés depuis ce matin en huit heures par une liaison ferroviaire directe à grande vitesse. Un premier train est parti de la gare de l'Est, à Paris, à 9h55. Il arrivera à Berlin à 18h03 ● Le groupe des chemins de fer italiens (FS) a annoncé jeudi des investissements de 100 milliards d'euros au cours des cinq prochaines années, lors de la présentation de son nouveau plan stratégique 2025-2029 ● Selon le Congressional Budget Office, la migration nette annuelle aux Etats-Unis s'est élevée en moyenne à 2,4 millions de personnes entre 2021 et 2023. La migration nette totale pendant l'administration Biden devrait dépasser les huit millions de personnes ● Le bénéfice avant intérêts et impôts (Ebit) pour l'exercice financier clos en septembre de TUI a augmenté de 33%, atteignant 1,3 milliard d'euros, contre 0,9 milliard l'année dernière…
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Aux Etats-Unis, les TO sont plus préoccupés par la géopolitique que la situation économique
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Lors de la conférence annuelle de l'Ustoa - le Seto américain -, une enquête a révélé que les préoccupations politiques surpassent désormais les inquiétudes économiques chez les tour-opérateurs. 58% d'entre eux se disent "très préoccupés par les conflits géopolitiques", comme la guerre en Ukraine ou au Proche-Orient. En 2023, les préoccupations majeures étaient liées à l’augmentation du coût de la vie (67%) et à l’instabilité financière mondiale (59%), ainsi qu’aux pénuries de personnel. Par ailleurs, Terry Dale, président de l'Ustoa, reste prudent face aux promesses de hausses de taxes annoncées par l’administration Trump et qui pourraient toucher l’industrie du tourisme. "Nous devons être prêts, mais avec cette administration, il est parfois nécessaire d’attendre et de voir", a-t-il déclaré. Ce qui n’est guère confortable.
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Retenez par ailleurs dans l'actualité... Les ministres de l’Intérieur des 27 ont accordé à la Roumanie et à la Bulgarie l’adhésion complète à l’espace de libre circulation européen à partir du 1er janvier 2025 ● Le Pont-Neuf, à Paris, va être transformé en septembre par le créateur français de street art JR "en grotte", un hommage au couple Christo et Jeanne-Claude, qui l'avaient emballé 40 ans auparavant ● En Thaïlande, après l'attaque mortelle d'un touriste par un éléphant sauvage dans le parc national de Phu Kradueng, dans la province de Loei, la direction du parc a fermé la zone ● Une découverte spectaculaire fait sensation à Los Angeles : un ancien policier, Gregg Musgrove, a trouvé douze chansons inédites de Michael Jackson qui se trouvaient dans la maison qu'il a rachetée au producteur de musique Bryan Loren.
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Les rendez-vous de la profession
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> Salon international de la plongée sous-marine : Parc des expositions de Paris, du 9 au 12 janvier 2025
> Partir en France 2025 : Bagnolet, du 13 au 14 janvier 2025
> Net Managers 2025 : Méribel, du 15 au 18 janvier 2025
> Salon des Thermalies : Lyon, du 17 au 19 janvier 2025
> Salon Bit : Milan, du 9 11 février 2025
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